The shiny tower that was inspired by a legendary Van Gogh painting and the region’s connections with the Roman Empire is now open
Rising 56 metres above the Provençale French of Arles, Frank Gehry‘s monolith is the crowning moment of Luma Arles, a multidisciplinary art and culture complex at the Parc des Atéliers which was designed by Belgian landscape architect Bureau Bas Smets. Sprawling over 27 acres, the creative campus shares its site with a series of industrial buildings – former railway workshops – transformed by Selldorf Architects to house exhibition galleries and project spaces.
The brainchild of collector, art impresario and founder of Luma Foundation, Maja Hoffmann, the grounds of Gehry’s new building have historic links to the greats of art and architecture: The location was once the seat of the of the Roman empire in France and later on, Vincent van Gogh stayed at an asylum in nearby Saint-Rémy-de-Provence where he painted The Starry Night.
That connection explains the Gehry’s seemingly outlandish monument. The glittering stepped tower emerges from a circular steel and glass atrium that takes after the city’s famous Roman amphitheatre. The terraced tower, featuring nearly 11,000 stainless steel panels, is the Pritzker Prize–winning architect’s homage to van Gogh’s magical painting, its edifice shimmering under the sun. The ridged profile of Gehry’s new building is inspired by the limestone cliffs around Arles.
“I love the light in Arles and the wind,” said Gehry at opening. “I liked the idea of capturing and reflecting the light in this region and this city. It is not a cold building … the metal has a softness about it, even inside.”
With Hoffmann’s ambition and connections, Luma Arles’ destiny as a beacon for global arts is all but sealed. Its opening exhibition features artists such as Diane Arbus, Etel Adnan, Annie Leibovitz and Olafur Eliasson, amongst others, with the 12-floors tower dedicating an area for Hoffmann’s private collection.
“This tower represents a notion of hope, an archipelago where everything is possible. It is a place where the past, present and future come to mix” said Hoffmann.
When the project was first announced, it was met with opposition from the locals; with time, the town has warmed up to the Hoffman’s vision. This is not the first time the art patron has built her own architectural marvel from scratch. For her Caribbean dream house in Mustique, she eschewed properties favoured by royalty and Hollywood stars, commissioning the Venetian-born New York architect Raffaella Bortoluzzi to craft a home of wonders.
Après deux ans de Fashion Week digitale, Paris renoue avec les podiums pour présenter les créations haute couture des maisons les plus prestigieuses du monde de la mode. Si certaines ont préféré rester sur un format vidéo, en raison des conditions sanitaires trop contraignantes, la plupart ont souhaité les braver afin de proposer de réels shows. Journalistes et clientes ont ainsi pu retrouver l’effervescence de la semaine de la mode parisienne durant quatre jours.
Schiaparelliqui a proposé un des défilés les plus remarqués de la saison. En seulement deux ans, Daniel Roseberry a réussi à remettre le nom dans la liste des marques les plus prisées. Son travail de recherche sur l’ADN de la griffe et sa réinterprétation ont fait de ses créations un must have devenu incontournable.
Présentée au Petit Palais, devant une poignée d’happy few, la nouvelle collection, composée de 32 silhouettes, se décline dans une palette chromatique réduite, noire et blanche permettant de mettre en lumière l’or, couleur fétiche de Schiaparelli. Haute Couture oblige, les détails dorés sont ici réalisés avec des feuilles d’or 24 carats.
Comme à l’accoutumée, le directeur artistique pare ses tenues de nombreux accessoires. Sur certaines tenues, les bijoux ne sont plus de simples accessoires, mais de réelles parures de corps transformant la femme en œuvre d’art.
Dior, qui fait partie des rares maisons à toujours proposer des shows, même si ces derniers ont été organisés à huis clos durant les fortes périodes de la pandémie, a retrouvé l’enceinte du Musée Rodin pour présenter la nouvelle collection imaginée par Maria Grazia Chiuri.
Dans la continuité du style instauré par la directrice artistique depuis son arrivée, les tenues sont un hommage au travail de Monsieur Dior et au savoir-faire des ateliers de la maison. Sans ateliers, la haute couture n’existerait pas. C’est pourquoi Maria Gazia propose une mise en lumière sur le travail des petites mains qui réalisent les tenues et surtout les broderies spectaculaires, que seule la main est capable de réaliser. Ainsi, en plus des tenues sobres signatures de la créatrice, se mêlent à des robes enrichies de broderies spectaculaires, à des justaucorps entièrement parés de pampilles de jais et collants ornementés de brillants.
Une fois de plus, Maria Grazia Chiuri réussit le pari de mixer la simplicité à la richesse des broderies.
La nouvelle collection Azzaro Couturepar Olivier Theyskens s’appuie sur la passion de Loris Azzaro pour la lumière et les matières brillantes pour imaginer un nouveau vestiaire plus contemporain. Le directeur artistique propose ainsi un dressing androgyne et fluide, loin des codes classiques de la couture.
Le tailleur pantalon, pièce maîtresse de la collection, se porte aussi bien au féminin qu’au masculin. Déclinés dans des matières aux textures veloutées et techniques iridescentes, ces ensembles de jour et de soir sont proposés dans des coupes décontractées genderfluid aux volumes oversize et aux épaules amples. La haute couture ne connaissant pas l’impossible, ces tailleurs s’enrichissent pour la nuit de pluie de cristaux ou de sequins XXL.
Pour les inconditionnelles des robes, le styliste propose une série de pièces tout en fluidité dans laquelle les broderies viennent parer les épaules, les poignets ou les décolletés dans un jeu de paradoxe en légèreté et rigueur.
Avec Olivier Theyskens, Azzaro conserve sa place de Maison de couture en phase avec son temps
Alexis Mabilletraduit son envie de soirées et de fêtes avec une collection 100%destinée aux tenues du soir. Déclinées dans une tonalité de nude, blanc, or, argent et noir, les tenues célèbrent le corps de la femme. Jeune, sexy et chic la silhouette Mabille est immédiatement reconnaissable dans cette collection qui reprend tous les codes de la maison, qui cette saison se parent d’une nouvelle énergie plus désinvolte. Ainsi Alexis propose des tenues couture à porter aussi facilement que des pièces de prêt-à-porter. À l’image de robes tuniques ou t-shirt, de combinaisons en dentelle tout droit sorties de l’univers de la lingerie, ou encore de grandes robes vaporeuses. La simplicité de ces pièces est contrebalancée par des tenues richement brodées à l’image des robes en maille extensible strassée, des combinaisons en dentelles rebrodées ou ceinturées de rangs de perles ou encore un top réalisé avec 1500 papillons argent et or cousus individuellement.
Pour Stéphane Rolland revenir au défilé était une nécessité. C’est avec un plaisir non dissimulé qu’il a donné rendez-vous à 450 invités au Théâtre de Chaillot pour présenter une collection à la fois sculpturale et légère. Habituellement adepte des volumes massifs, il privilégie cette saison la légèreté de la mousseline. Au milieu de l’immense podium, les mannequins semblent être transportées en apesanteur par une douce brise faisant voler les riches étoffes autour d’elles. Les volumes plus généreux sont également portés par des mouvements aériens. En contraste, le couturier amoureux des bijoux, propose une accessoirisassion composée de pierres XXL.
Alexandre Vauthier a révolutionné le monde de la haute couture depuis son intronisation en tant que Grand Couturier. Loin des standards classiques des autres maisons, il a imposé son style ultra féminin et contemporain à une nouvelle génération de clientes souhaitant s’habiller en haute couture sans pour autant ressembler à leurs mères. Comme Thierry Mugler en son temps, Alexandre Vauthier qui a exercé à ses côtés à ses débuts, revisite à chacune de ses collections l’hypersexualisation de la mode féminine. Sans déroger à cette ligne de conduite, il s’exerce cette saison dans la coupe oversize en retravaillant le costume féminin/masculin. Célèbre pour ses robes sexy, il propose un large panel dans lequel on retrouve des clins d’œil aux années 20, à l’art déco, aux années 80, des périodes charnières de la mode féminines. En fidèle amoureux des jambes des femmes, la collection donne la part belle aux micro-robes et aux robes body.
Pour clôturer cette deuxième journée, la Maison On Aura Tout Vu a donné rendez-vous au Paradis Latin pour présenter une collection de 60 modèles qui fera date dans l’histoire de la marque. Baptisée Superheroes, la collection rend hommage aux femmes et aux hommes qui se battent contre la pandémie de la Covid-19. Après deux ans d’absence des podiums parisiens, les deux designers, Yassen Samouilov et Livia Stoianova, ont souhaité proposer un réel show couture entremêlant mannequins et danseurs dans une chorégraphie imaginée par Kamel Ouali.
Depuis sa création, la maison revendique sa différence en abordant ou en dénonçant des sujets de sociétés qu’elle réinterprète de façon décalée. Cette saison ne fait donc pas exception à la règle avec une réinterprétation des costumes des super héros. Ces derniers sont appliqués sur des robes ou des bobysuits couture, afin de sculpter les corps à la manière des trompes l’œil. Les broderies entièrement réalisées à la main, forme des carapaces sur les manteaux et les robes à l’image de protections luxueuses. Des applications or et argent parsèment les tissus d’exception, parmi lesquels on retrouve des soies et des jacquards réalisés en exclusivité pour la maison par les tisserands de la région de Tango au Japon. Deux pièces en cuir de Kobé viennent également enrichir la collection et sceller une amitié franco-japonaise commencée depuis plusieurs années. Fidèles également à la création française, les dentelles de caudry sont largement mises à l’honneur dans des robes et combinaisons dévoilant les corps avec raffinement.
Si le cristal, signature de la maison, parsème la collection, le métallisé prend le pas dans une sélection de robes de vestales modernes et sexy. Déclinées dans des tonalités dorées, argentées et noires vernies ces robes dévoilent avec subtilité le corps de celles qui les portent et démontre du super pouvoir de séduction de la femme.
Si la collection se focalise sur les vêtements et très peu sur les accessoires, il était impossible de passer à côté de trois sacs bijoux or, issus d’une nouvelle collaboration de la maison avec LELO. Ces véritables boîtes à secrets pour plaisir intime seront vendues aux enchères très prochainement.
Découvrez les shows des deux derniers jours de la Paris Fashion-Week Haute Couture dans Fashion-Spiderhttps://www.fashion-spider.com/
The Buffalo is tied to the gold and wealth, and the Tiger’s head is shaking the bell to shake the gospel. The wind chases the whereabouts of spring, the snow wanders the warm ocean, and the lights light up the journey home. Starting from the Spring Festival of the Year of the Tiger, may you be like a Tiger, have a good mood every day, make a sweet dream every night, let you always have someone to care about, everywhere people pay attention! Bless the Tiger ……
The time is really fast, unconsciously New Year’s Day is coming again !
New Year’s Day is the beginning of the year,
New Year’s Day is the unanimous joy,
New Year’s Day is a family reunion,
New Year’s Day is with many best wishes,
In the past year, some people have seen dust, some people have seen stars, may you in 2022, all you want, do a smooth road, everything goes well, Happy New Year’s Day. Happy New Year ……
The unhappiness and unhapiness of 2021 will pass away with the advent of Christmas, and will soon user in 2022 full of expectations and happiness. In such a gentle and warm festival as Christmas, you can treat the precious people in life with a sense of ceremony and gentleness : Merry Christmas, joy and happiness !
GRACE CHEN COUTURE FASHION SHOW WAS SHOWING AT THE FAMOUS BFC (BUSINESS FINANCE CENTER)
Life in Chinese calligraphy is full of forms, and GRACE CHEN’S “book” series is coming.
Grace Chen, a Chinese high-end fashion brand, held the release show of GRACE CHEN 2022 early spring vacation high-definition series of “Chinese elegance of piano, chess, calligraphy and painting”, which is rich in the essence of modern oriental aesthetics, on the Centennial Bund terrace and under the Pudong skyline. Grace Chen, the founder and chief designer of the brand, described the creative process of the series on the spot.
“My aesthetic view is dominated by calligraphy, and nothing can better reflect the Chinese people’s spiritual temperament and aesthetic thought than calligraphy.” designer grace Chen said in an interview that the first-class brand iconic elements come from calligraphy, which is also a cultural element that can trigger women’s aesthetics.
This series is the third part of piano, chess, calligraphy and painting • Chinese elegance, the brand’s 2021 Chinese culture year. Following the “Piano” and “chess”, it is intended to reflect the art form of calligraphy on modern clothing through “book”, vividly combine culture, aesthetics, people and life, and show a vivid and swaying picture of modern oriental aesthetics, Convey the way of shaping Chinese aesthetics.
Music director: Cai
Donghua
Music Design: Cai
Donghua rongchenchu
Performance:
Reading sound
boundless • China (LUC)
Lyrically Unbounded
China
Rong chenchu
impromptu Chamber Orchestra
ChuChu Imorovising
Vibes
Dancer: Wang Zi
Blow: Rong chenchu
Blow: Qian Hongji
Flute: Tong Jiayi Bamboo flute: Wu Han
For Henri Joli, he will use “Bohemian Chic” to describe this series, and the performance of musicians and dancers is very moving.
In November, the annual art event ART021 arrived as promised. Now, join us to welcome the art feast prepared by ART021 for you!
The 9th ART021 Shanghai 21 Contemporary Art Expo will be held in Shanghai Exhibition Center from November 11 to 14, 2021. The Expo will still bring together 134 top galleries from 14 countries and 29 cities to present the contemporary art and design works of internationally renowned and new artists.
In the post epidemic era, the artistic spirit continues, and many top galleries at home and abroad once again join hands with ART021.
In addition, several top design galleries at home and abroad will bring numerous and diverse design works, including Gallery all, objective Gallery, gallery OROS, gallery sohe, etc.
The selected art projects in the beyond public project unit of the Expo continue to break the boundary of traditional Expo booths.
As the chief partner of the 8th West Bund Art and Design Expo, Dior presented art’n Dior Exhibition. It will land at Shanghai West Bund Art Center from November 12 to 23, 2021. The exhibition skillfully connects the past, present and future, and brings a gorgeous creative journey. It pays tribute to Mr. Dior, Dior’s continuous artistic enthusiasm and continues the deep relationship between the brand and China.
The “Lady Dior what I see” exhibition area follows the footsteps of the global tour of Lady Dior what I see, and draws a panoramic view of the international art world with wonderful photographic blockbusters and charming sculpture masterpieces. Inspired by the legendary lady Dior handbag, artists create exquisite works of art with a unique perspective.
This year, Dior specially invited six Chinese artists to inject fresh blood into this art exhibition. In addition to the works of CAI Yaling, Liang Manqi, Liu Yue, Wu Jian’an and Zhang Ding, which made their debut in the Shenzhen exhibition, Wang Yuyang will also appear in Shanghai with his new work.
In this dream journey, the exhibition will also present the new Dior lady art #6 – limited cooperation series of artists for the audience. Dior, together with artists from all over the world, combines traditional craftsmanship with innovative vision, and turns lady Dior into a portable and beautiful art through bold, novel and diversified forms. In this new series, Dior joins hands with 12 artists from around the world to give lady Dior a new look.